Description des faits :
18h30 le 4 juin 2018, je roule en direction de Vias sur la D13 quand j’ai été dépassé sur ma gauche par un véhicule de couleur bleu sur le toit et d’une autre matière type inox poli entre la portière et le bas de caisse.
Ce dépassement je l’ai vécu et observé au ralenti comme si le temps s’était arrêté un instant sans fond sonore.
A ce moment précis jai pu alors constater que ce véhicule se trouvait à 1 mètre de distance ainsi qu’en lévitation à 50 cm du sol dépourvu de roues et doté d’un hublot, d’un diamètre d’environ 1,50m cerclé d’une couleur cuivre.
Ce véhicule était éclairé de blanc de l’intérieur mais ne diffusait pas de lumière vers l’extérieur avec une forme ovoïde de 5 metres environ.
Les trois occupants d’apparence européenne semblaient plutôt calmes, vêtus de combinaisons en nylon bleu ciel et d’un logo fluo sur les épaules.
J’ai été ensuite aspiré à l’intérieur de cette habitacle futuriste alors même que mon véhicule continuait de rouler sur la D13.
L’intérieur était immense contrairement à l’apparence extérieure de cette engin qui déposait ces personnes sous la forme de boule éclairante.
Les occupants de cet engin disposaient d’un tube métallique qu’ils m’ont apposé sur la main et ma peur a disparu rapidement avec une extinction de voix et je ne pouvais plus bouger
Ces derniers m’ont alors informé qu’ils étaient autrefois des anciens terriens et qu’ils venaient se recueillir sur leurs terres, une sorte de pèlerinage pour ces ex paysans.
Ils m’ont aussi dit que les personnes décédées devaient emprunter un passage pour les amener sur un premier pallier ou des proches les attendaient puis ensuite diriger sur d’autres palliers avec un guide avant d’être transféré sur une étoile. Les personnes se trouvant sur le second pallier pouvaient reprendre leur meilleur apparence.
Leur planète s’appelle K231 et se trouve sur la cinquième étoile de notre soleil.
Après avoir été dépassé, je me suis retrouvé assis à l’arrière de mon véhicule le 10 juin à 11h30 du matin à proximité de l’aéroclub de Béziers.
Que s’est-il passé entre le 4 et le 10 juin dernier ? La jauge d’essence est restée au même niveau et la climatisation diffusait un flux d’air frais, une sorte d’oxygène dont j’avais besoin. Sorti de mon véhicule abasourdi d’avoir vécu une histoire hors norme, j’ai préféré garder le silence.
Je précise que je ne suis pas consommateur d’alcool ou stupéfiants et ne prends aucun traitement.