14-12-2010 - (Dép.28) - Matérialisation de 6 disques argentés - lent déplacement de ces disques dans différentes directions, puis leur disparition.
Description des faits :
À cette époque, mon épouse - décédée depuis - et moi vivions rue de Fontaine-la-Guyon, sur la D121.5, dans une maison dont l'arrière donnait sur les champs. Nous revenions de Chartres, le temps était clair, et en hiver le soleil se couchait vers Saint-Georges-sur-Eure. Il faisait beau, et en regardant par la fenêtre de cuisine, vers les champs, j'ai observé un oiseau qui se maintenait stationnaire, à grands coups d'ailes rapides, dans un vent léger. On voyait le soleil, et il y avait quelques nuages légers dans le ciel. À gauche de notre maison il y avait l'alignement des maisons de la rue Jean Moulin, qui rejoint la D923.
Tout à coup, à une hauteur de 100 à 200 mètres, j'ai vu un halo se former, comme si l'air était ionisé. Est sorti de ce halo de gaz un premier disque argenté, qui brillait dans le soleil, dont les dimensions étaient difficiles à évaluer. C'était à environ 300 à 500 mètres de cette maison où mon épouse et moi vivions, et non loin de la ligne de chemin de fer électrifiée qui va vers Le Mans. J'ai appelé mon épouse, et elle et moi nous sommes précipités dans la chambre pour mieux voir. En quelques minutes, nous avons vu 5 autres de ces disques apparaître. L'un d'eux s'est déplacé en direction de Saint-Georges-sur-Eure, puis a disparu. Les autres se sont déplacés à une extrêmement lente au-dessus des champs, en direction de Courville-sur-Eure. On aurait dit que ces appareils se livraient à une observation des lieux. Cette lente exploration a duré environ 25 minutes. Les disques se déplaçaient sans faire de bruit, et ne laissaient aucune traînée derrière eux. Au contraire de 3 avions de ligne, qui sont passés bien plus haut que ces disques argentés, dans le même laps de temps, 2 dans le sens Nord-Sud, et 1 dans le sens Ouest-Est, et qui ont laissé de belles traînées de réacteurs dans le ciel.
Environ 10 à 15 minutes après le début de l'observation de ce phénomène inhabituel, ma femme et moi avons vu revenir l'engin qui avait disparu en direction de Saint-Georges-sur-Eure, il a rejoint les autres, qui ont "glissé" doucement dans le ciel, cette fois en direction de Courville-sur-Eure, puis se sont évanouis dans le soleil couchant vers 17h15 - 17h20. En général les avions qui passent dans le ciel font rarement demi-tour par rapport à leur trajectoire, et leur vitesse dépasse celle des appareils que nous avons observés ce soir-là.
Fascinés par cette observation, ma femme et moi n'avons pas pensé à faire des photos, et d'ailleurs notre appareil argentique n'avait plus de pellicule. L'année de cette observation, 2010 donc, j'ai envoyé un témoignage écrit, assorti d'un dessin et d'une carte, à une revue s'occupant de phénomènes ovni, mais celle-ci ne m'a pas recontacté. Et comme entre temps j'ai déménagé, ceci explique, entre autres événements survenus dans ma vie, pourquoi je n'ai pas redit ce que ma femme, qui était à l'époque chef de projet informatique, et moi, autoentrepreneur, avions pu observer. C'était la première fois que nous voyions ce que nous pouvions qualifier de phénomène insolite.